GINA WATUPA:UNE FOIS DE PLUS

                          HISTOIRE VRAIS

Un patron va en voyage et dit à son son employé:
-Je pars en voyage. Si il y a un problème appel moi ok?
Une semaine plus tard n'ayant eu aucun signe le patron inquiet appelle son employer:
-Allô Abdou est ce que tout va bien?
-Non patron. Tout va mal.
-Mais c'est quoi le problème?
- Le manche de la pelle est cassé.
-Quoi? Mais Abdou. Tu m'as fait peur. Bon pourquoi il est cassé?
-Parce que moi enterré votre chien avec.
-Quoi? Pourquoi tu as enterré mon chien. Tu sais que je tiens à lui.
-Votre chien noyé dans la piscine.
-Tu mens. Mon chien c'est rottweiler et il sait nager.
-Mais monsieur piscine pas d'eau.
 -Mais pourquoi? on a fais la révision la semaine dernière.
-Non monsieur.plus d'eau parce que pompier utilisé sa pour éteindre incendie dans votre maison.
-Ma maison a pris feu? Explique toi?
 -A cause de bougie posée à côté du cercueil de madame maman.
-QUOI?ma mère est morte? De quoi?
-La nuit de votre départ. Elle partir voire votre femme dans chambre et elle trouver femme dans le lit avec votre meilleur ami. Elle piquer crise cardiaque et elle morte.
-Abdou je suis perdu. Je pars une semaine et voilà le résultat? Il n'y a donc rien de positif?
 -Si monsieur. Vous rappelez de test de dépistage du sida vous faire mardi?
-OUI!
-ça positif!

Rio Ferdinand Joins Jason Roberts' T Shirt Protest

https://twitter.com/WatupaG/lists

TENTATIVE D'ASASSINAT HENRI MUKE
http://www.congomikili.com/breaking-news-tentative-dassassinat-du-president-henri-muke/

Arafat humilier à Cotonou

À l'époque de Mobutu, on a dit que parce que Mobutu dérangeait les voisins, c'est ici que les voisins venaient de se liguer contre lui ! Mais, aujourd'hui,-qu'est-ce que les vosins reprochent-ils à Kabila ? Déficit de langage !

Agression de la RDC : L'Angola tombe dans le piège de Kagame et Museveni !

Une action de lobbying dans précédent a été lancée à partir de Kigali et Kampala. Il vise à rallier individuellement tous les chefs d'Etats des Grands Lacs africains d'abord, de l'Afrique centrale ensuite et des plus influents du continent, enfin, à la cause du M23. C'est le président ougandais en personne qui pilote l'action.

Dos Santos d'Angola est le premier à être tombé dans le panneau. Au cours de la dernière sortie régionale, l'Angola a officiellement épousé les thèses rwandaises. A savoir que la vraie solution à la « crise congolaise » passe par les négociations directes entre Kinshasa et le M23.

Luanda, qui était au départ proche de l'approche congolaise, vient d'effectuer un virage à 180°. Au fond, le but de l'International Tutsi Power (Itp) est d'isoler la RDC dns la région. Des actions de lobbying se poursuivent ainsi auprès de différents chefs d'Etat africains. Et les agresseurs sont suffisamment avancés dans les contacts.

Le fait déjà que le Conseil Permanent de l'Union Africaine (Ua) ait recommandé l'application des accords conclus avec le Cndp, reste un signal fort alarmant.

Ainsi Museveni, qui est plus rompu à la diplomatie, s'active à obtenir un ralliement massif à la cause du M23. Un plan monté à ce propos prévoir qu'un consensus autour de cette rébellion apparaisse à l'échelle régionale d'ici la fin de l'année en cours.

Erreur stratégique

Nos agresseurs sont plus qu'actifs sur le terrain diplomatique. Chaque jour, des experts sillonnent des grands palais de la région ainsi que ceux du continent, en vue de déblayer le terrain et conditionner les différents interlocuteurs.

Museveni passe une très large partie de son temps à téléphoner personnellement à des chefs d'Etat africains pour parler de la crise congolaise.

Du côté congolais, il est décevant de constater qu'après l'emballement des premières heures, notre diplomatie est tombée en léthargie.

Complètement absorbé par les préparatifs du XIVème Sommet de la Francophonie, Kinshasa 2012, le patron de la Diplomatie congolaise a littéralement baissé la garde, voici maintenant plus d'un mois.

Et ce fut justement lorsque l'échéance du Sommet a le plus approché que le Rwanda et l'Ouganda sont devenus plus agressifs sur le plan diplomatique. Oui, ce Sommet de Kinshasa aura été d'un franc succès, mais il aura malheureusement une remarquable régression de l'action diplomatique congolaise.

En son temps, le Palmarès avait suggéré de décharger le ministre des Affaires Etrangères du protocole Francophonie. En effet, on ne voyait pas comment Raymond Tshibanda pouvait se montrer efficace, diplomatiquement parlant, en cumulant les Affaires Etrangères, la Coopération Internationale et la Francophonie. Ce dernier protocole était impossible à concilier avec le reste dans le contexte des préparatifs du XIVème Sommet.

Déjà ailleurs, notamment en France où l'on avait pourtant pas à organiser le Sommet, l'on a eu la souplesse de faire de la Francophonie un secteur à part. pour n'avoir pas compris la chose à temps, mais le payons cash en ce jour. Comment remonter la pente ?

YOROBO REPOND AU GARANT DE LEWIS

VOC- BARBARA KANAM recoit le diplôme d'honneur ivoirien et dénonce les                                                 Combattants




http://www.youtube.com/watch?v=nMxvjwt0O6Y

        DIOMI NDongala sur son lit d'hôpital                               après l'opération

VOC- VERITE POLELE POLELE ENTRE LES HOMMES DE JHON

ON NE LE DIRA JAMAIS ASSEZ RDC CONGO WEEK

http://www.dailymotion.com/video/xuejdi_on-ne-le-dira-jamais-assez-rdc-congo-week_tv

GINA WATUPA:UNE FOIS DE PLUS

http://www.dailymotion.com/video/xuf4jw_rdc-le-gouvernement-kabila-roger-lumbala-depute-de-l-opposition_news

http://www.dailymotion.com/video/xugi7o_jt-live-19-10-12-edition-de-l-apres-midi_news?start=524

Liyebisi,liyebisi,liyebisi.bandeko ngai mokolo ya mine eleki(jeudi) kanambe awutaki na kasangulu(bas-congo) mapinga(les hoes invisibles militaires) babeti masasi na cortege na ye,kasi ba soldats tanzaniens et rwandais bazoki,basusu bakufi.alors kanambe apesi mitindo babomi ba soldats congolais,oyo bazalaki na liboso ya cortege.bandeko mikolo ya kanambe hypolite ezali ya kotanga.ba hoes invisibles(mapinga ya mpiko)bako rater yo te na mbala sima,bientot,tres bientot akokufa, kongo aux kongolais,rwanda aux rwandais.kisalu me banda na kinshasa,operation l hoe invisible ebandi na kin depuis c jeudi.bozala na kimia kala te,tokosepela.que vive lingalophonie,que vive bantu league people,que vive le kongo libre.Ingetaaaaaaaaa

DJ DEBORDO: "MON PAYS DE REVE C'EST LE CONGO" AU MICRO DE GI

Le Rwanda récompensé par la communauté internationale pour le génocide qu'elle commet en RDC

VOC- DERNIERE AVERTISSEMENT DE COLONEL KAMAZANGU

Kinshasa : Ces Bons Apparatchiks Bons Genres du régime Joseph Kabila qui ont bénéficié l'argent du Hezbollah de la Banque Congolaise ?


C'est une histoire de la mafia libano-congolais et du blanchissement d'argent sale du Hezbollah. Une mafia affairo-politico-journalistique. Les Apparatchiks du régime de Joseph Kabila ont mangé dans la main de Roger Alfred Yaghi (RAY), l’homme d’affaires libanais et ancien président du Conseil d’administration de la Banque congolaise. Sur la liste des pillards de la Banque Congolaise établit fait le Cabinet KPMS, on retouve des acteurs politiques de la Majorité présidentielle de Joseph kabila mais aussi des propriétaires de médias: Modeste Mutinga Mutuishayi, le Potentiel; Tryphon Kin Key Mulumba, Le Soft International; Pius Mwabilu, Journal Avenir et RTG@; Christian Lusakweno Top Congo. Grâce à leur accointance avec le régime de Joseph kabila, ils ont bénéficié des facilités et largesses financières, crédits et emprunts de la Banque Congolaise (BC), qu'ils n'ont jamais remboursé. Emprisonné à la prison de Makala, Roger Alfred Yaghi est le seul à porter le chapeau. Et il n’est pas au bout de ses peines. Car son affaire – déjà prise en délibéré - doit reprendre à zéro au tribunal de Grande instance de Kinshasa-Matete, sur décision de la Cour suprême de justice. Les Mammouths Joséphistes et autres rapaces sont en liberté, puisqu'ils sont Congolais et soutiennent le régime de Joseph Kabila, une dictature totalitaire éhontée. Et pourtant tous faisaient le pied de grue, à la villa de Roger Alfred Yaghi, sise au 44, avenue Kalemie, commune de la Gombé, près de Marsavco, pour être dépannés.

Sud-Kivu : La Monusco annonce la naissance d’un nouveau groupe armé Rahiya Mukombonzi

Autrement dit « Le peuple libérateur » Rahiya Mukombonzi une dissidence de Rahiya Mutomboki, se classe désormais parmi les groupes armés qui sèment la désolation à l’est de la RDC. La Monusco a annoncé la naissance de ce groupe armé hier mercredi 17 octobre 2012 lors de la conférence de presse hebdomadaire des Nations Unies au siège de la Monusco.

Selon le porte-parole militaire, le lieutenant- colonel Félix-Prosper Basse, « les tensions entre les différentes factions Rahiya Mutomboki présentes dans le groupement Baliga du territoire de Shabunda, demeurent perceptibles et ont conduit à l’émergence d’un nouveau groupe armé».
Donnant plus de détails sur ce groupe armé, le porte-parole militaire a signalé que « le 11 octobre 2012, les rapports ont signalé que Tchondo et Bambezi, respectivement commandant en second des factions Rahiya Mutomboki Jean Musombo et Sisawa, ont fait alliance avec le major Dona, déserteur des FARDC pour créer ce nouveau groupe armé. Ils comptent recruter au sein de la population, contrôler le territoire de Shabunda et combattre le Rahiya Mutomboki.
La création des groupes armés continuera en Rd Congo tant que l’autorité de l’Etat ne sera pas rétablie dans l’ensemble du pays. Et tel que l’Etat congolais fonctionne aujourd’hui, il naîtra encore beaucoup de Rahiya Mukombozi, de M23, etc.
S’agissant des infiltrés rwandais du M23, le porte-parole a déclaré qu’ils ont décroché plusieurs de leurs positions de Nyamilima-centre, qui ont été récupérées par les combattants Mayi-Mayi, après des accrochages avec des éléments des FDLR. Cependant, sur le chapitre des viols, les infiltrés rwandais de M23 continuent leur sale besogne. « Dans le territoire de Rutshuru, au Nord-Kivu, entre le 8 et le 15 octobre 2012, deux femmes et deux filles ont été violées à Katale II, Bushenge et Changa. Les rapports signalent également d’autres cas des viols commis au village Nkiko, sans avancer le nombre précis de victimes.
Parlant de la journée internationale pour l’élimination de la pauvreté célébrée chaque 17 octobre, il a été noté qu’en RDC, sept ménages sur dix sont pauvres. Les femmes et les personnes vivant en zone rurale sont les plus touchées. Ce qui exige une collaboration entre le gouvernement et les Nations Unies afin de réduire cette pauvreté et atteindre les objectifs du millénaire pour le développement. La priorité reste la création d’emplois et de revenus, l’amélioration de l’accès des populations à des services sociaux de base dé qualité, l’élargissement du programme d’élimination de la transmission du VIH des parents à l’enfant ainsi que des traitements et soutiens aux personnes vivant avec le VIH.
Il faut noter que c’est ce 24 octobre que la communauté internationale va célébrer la journée des Nations Unies. Cette date marque l’entrée en vigueur, en 1945, de la charte des Nations Unies. A l’instar d’autres pays, en RDC, cette journée sera l’occasion de mener des activités visant à rappeler les idéaux des Nations Unies et l’action du système des Nations Unies en RDC
Gina Watupa

(Reuters) - Rwanda - along with Australia, Argentina, Luxembourg and South Korea - won a seat on the U.N. Security Council on Thursday, despite accusations by a U.N. panel that Rwanda's defense minister commands a rebellion in Democratic Republic of Congo

Rwanda was unopposed in its bid for the African seat on the council that South Africa will vacate at the end of December, but still needed approval from two-thirds of the U.N. General Assembly members present to secure the two-year term. It won 148 votes in the 193-nation assembly.

Argentina also was elected to the council unopposed, winning 182 votes. Australia won a seat with 140 votes, Luxembourg with 131 votes and South Korea with 149.

Cambodia, Bhutan and Finland failed to secure two-year seats on the council.

There are five veto-holding permanent members of the council - the United States, Britain, France, Russia and China - and 10 temporary members without veto power. Thursday's election was for the term from January 1, 2013, to December 31, 2014.

Rwanda's government said that it would work with all members of the council to ensure "it is responsive and reflective of the views & aspirations of the developing world."

"Rwanda's troubling and tragic past allows it to bring to the UNSC a unique perspective on matters of war and peace," it posted on a Twitter account created for its Security Council term (@RwandaUNSC).

Before the vote, the Congolese delegation told the General Assembly it objected to Rwanda joining the Security Council, accusing its neighbor of harboring "war criminals operating in the eastern part of the DRC and who are being sought by international justice."

A confidential U.N. report, seen by Reuters on Tuesday, cast a shadow over Rwanda's election to the 15-member U.N. power center - which has the ability to impose sanctions and authorize military interventions.

The Security Council's "Group of Experts" said that Rwanda and Uganda - despite their strong denials - continued to support M23 rebels in their six-month fight against Congolese government troops in the east of the country.

BLATANT VIOLATIONS?

Rwandan President Paul Kagame posted a declaration on Twitter welcoming the result: "No matter what haters say ... justice&truth will prevail!!! Sometimes it just requires a bit of good fight for all that...!!!"

Speaking to reporters in New York, Rwandan Foreign Minister Louise Mushikiwabo complained about the timing of the leak of the experts report to Reuters two days ahead of the Security Council vote, but added that the leak was "predictable."

She also sought to assure Congo that Rwanda would be a responsible council member. "I believe the Democratic Republic of Congo should see Rwanda on the Security Council as value addition," she said after the vote.

Philippe Bolopion of the advocacy group Human Rights Watch criticized the inclusion of Rwanda on the Security Council

"After blatantly violating the Security Council's arms embargo and undermining the work of the U.N. by propping up the abusive M23 rebels, Rwanda is rewarded with a seat at the table," he said.

"Kigali is now in a position to try to shield its own officials implicated in abuses from U.N. sanctions, which is a flagrant conflict of interest," Bolopion said in a statement. "Other Security Council members now have an even greater responsibility to hold Rwanda to account."

Britain's Deputy U.N. Ambassador Philip Parham put a more positive spin on Rwanda's election, saying: "We look forward to working with them on issues of international peace and security including the efforts to try to end the cycle of violence in the eastern DRC."

Australian Foreign Minister Bob Carr described Australia's election as a "big juicy, decisive win" that endorsed the country as a good global citizen.

"For us as a middle power a long way from the centers of clout in the world, the centers of power in the world, this is a lovely moment," Carr told reporters after the vote.

South Africa, Colombia, Germany, India and Portugal are leaving the Security Council in December. Azerbaijan, Guatemala, Pakistan, Togo and Morocco will remain until the end of 2013.

The last time Rwanda was on the council was in 1994-95. That coincided with a genocide in which 800,000 people were killed when Rwanda's Hutu-led government and ethnic militias went on a 100-day killing spree, massacring Tutsis and moderate Hutus.

The Congolese government on Wednesday demanded targeted sanctions against Rwandan and Ugandan officials named in the U.N. experts report.

According to the U.N. experts, who monitor compliance with sanctions and an arms embargo on the Congo, Rwandan Defense Minister General James Kabarebe was ultimately commanding the rebellion and both Rwanda and Uganda were providing weapons, troops and military and political aid to the insurgency.

(Additional reporting by Jenny Clover in Kigali and Yara Bayoumy in Nairobi; Editing by Paul Simao and Jackie Frank)

                      Temoignage ex soeur catholique 1ère

                       THEATRE CONGOLAIS [OTUNAKI TE 7-8 fin]

                   LAMBERT MENDE CONTRE PAUL MILAMBWE

                                      666 la bible

                         GENERAL JOHN TSHIBANGU

        GENERAL JOHN TSHIBANGU

CONGO (RDC) JOHN TSHIBANGU. CONGOLAIS TO TELEMA

Jean-Pierre Mbelu :"Joseph Kabila et la réalisation maximale de sa mission en RDC"

Jean-Pierre Mbelu: "Francophonie et Diomi : plusieurs questions sans réponses"

        Gina watupa chante kabila degage

Kinshasa : Ces Bons Apparatchiks Bons Genres du régime Joseph Kabila qui ont bénéficié l'argent du Hezbollah de la Banque Congolaise ?
http://reveil-fm.com/index.php/2012/10/17/2888-bc

AFFAIRE DE CHEBEYA 

RDC : entretien exclusif avec un témoin clé de l’affaire Chebeya, Paul Mwilambwe
Par Stéphanie Braquehais
Paul Mwilambwe, policier congolais, affirme avoir assisté au meurtre de Floribert Chebeya, le militant des droits de l’homme assassiné en juin 2010. Il affirme également que le commanditaire de l’assassinat était le général John Numbi, chef de la police à l’époque. Ce témoignage a tout d’abord été révélé par le réalisateur belge Thierry Michel auteur du film : « L’affaire Chebeya, un crime d’Etat ? ». S’il était confirmé, il pourrait relancer entièrement l’affaire. Le témoin, qui a été condamné en première instance par contumace, vit depuis plusieurs mois dans la clandestinité. Il affirme avoir été plusieurs fois enlevé et menacé d’exécution en RDC, avant de parvenir à quitter le pays. Depuis, il se cache dans un pays d’Afrique. Paul Mwilambwe répond aux questions de Stéphanie Braquehais.
Paul Mwilambwe, vous étiez chargé de la sécurité à l’Inspection générale de la police le 1er juin 2010, le jour où Floribert Chebeya a été tué. Vous étiez vous-même au bureau ce jour-là. Qu’est-ce que vous avez vu ?
A partir de 17 heures, mon ami le major Christian Ngoy qui est le commandant du bataillon Simba m’a appelé. Il m’a dit : « Je suis accompagné par un visiteur de marque qui va rencontrer le général Numbi ». Je lui ai dit : « Non, le général Numbi est absent ». Il m’a dit : « Non, dans quelques minutes, le général va arriver à l’Inspection générale ». Il est entré avec un monsieur que je ne connaissais pas. Et lorsqu’il est sorti, la personne s’est présentée devant moi et m’a dit : « Je m’appelle Floribert Chebeya, le secrétaire exécutif de la Voix des sans voix ».
Combien de temps est-il resté dans votre bureau ?
A partir de 19 heures et quelques minutes, c’est le major Christian qui est venu récupérer Chebeya dans mon bureau. Tout d’abord, il s’est excusé devant Chebeya en disant : « Le chef s’excuse, il ne doit plus vous recevoir ici au bureau. Il préfère vous recevoir à sa résidence privée ». Mais en sortant, à partir de la réception, Chebeya a été cagoulé, au niveau de la réception.
Comment le savez-vous ?
Sous mon bureau, il y a une caméra de surveillance et cette caméra capte à partir de mon bureau jusqu’à 50, 100 mètres. Alors lorsqu’on a fait le mouvement de prendre Chebeya brusquement, la caméra a sonné. En regardant cette caméra, je vois le major Christian et quelques éléments de la police cagouler Chebeya avec les sachets Viva (ndlr : des sacs plastiques de la marque Viva). Et on a commencé à les scotcher. Et c’est ce qui m’a incité à quitter mon bureau et à descendre voir ce qui se passe.
C’est à ce moment-là que vous les avez rejoints à la réception ?
Je n’ai pas trouvé Chebeya à la réception. On l’a amené directement au hangar. J’ai appelé le major Christian. Je lui ai posé la question pour savoir. Il m’a dit : « Monsieur, ferme ta bouche. C’est un ordre qui vient de la hiérarchie ». Je lui ai encore posé la deuxième question : « Qui vous a donné cet ordre ? ». Il m’a dit : « C’est le président de la République » pour la première fois. Je lui ai posé la question : « Qui a reçu l’ordre du président de la République ? Par téléphone ou par quoi précisément ? ». Il m’a dit : « Non, j’ai reçu l’ordre du président de la République par le canal du général Numbi ». C’est le général Numbi qui a intimé l’ordre au major Christian. Et lorsqu’il a donné cet ordre, il a dit au major Christian que cet ordre vient du président de la République. Ca c’est le major Christian qui me le rapporte. D’abord l’ordre est venu : toute personne qui accompagnerait Chebeya, que ça soit son fils, que ça soit son collègue, que ça soit son épouse, doivent subir le même sort que Chebeya. Et il m’a dit : « Voyez dans la voiture. Son chauffeur, on l’a déjà exécuté ». J’ai regardé la voiture et j’ai vu un corps sans vie. Et lorsque je parle avec le major Christian, les policiers sont en train de continuer à étouffer Chebeya.
Quelle a été votre réaction ?
Moi je suis un officier sans troupes, le major Christian, c’est l’officier avec troupes. Donc je suis rentré à mon bureau parce que je savais que les caméras étaient en train d’enregistrer. Je devais faire un rapport à la hiérarchie.
Vous voyez un assassinat se dérouler devant vos yeux. Pourquoi n’avez-vous pas tenté de le sauver ?
Non, à ce moment qu’est-ce que je devais faire ? Moi mon problème est de faire un rapport au chef. Je suis le commandant de sécurité. Je vois des événements. Le major Christian a des policiers bien armés. A ce moment-là, je ne devais pas faire autrement. Je devais faire un rapport au général Numbi. Après cette opération, il était déjà 20 heures. J’ai quitté les bureaux à partir de 20 heures et quelques minutes. Et je suis arrivé à la maison à 20 heures et quelques minutes.
Et c’est donc deux jours après l’assassinat que Christian Ngoy s’est confié à vous ?
Avant les fouilles, il m’a appelé dans sa chambre parce que nous habitons les mêmes maisons. Je l’ai trouvé en train de pleurer. Il m’a dit : « Ca me fait mal parce que je viens d’avoir d’autres ordres auprès du général Numbi : 'Avant les fouilles, il faut exécuter ton ami' ». Je lui ai demandé : « Est-ce que le général vous a dit le mobile de cet assassinat d’exécuter Chebeya ? ». Il m’a dit : « Non. Chebeya était un témoin gênant ». Il m’a dit pour deux choses : le massacre de Bundu Dia Kongo ; et deuxièmement, Monsieur Chebeya avait enquêté sur les massacres de l’Equateur. Les gens qui ont fait cette opération, ce sont les éléments du bataillon Simba dirigé par le major Christian. Ces bataillons recevaient les ordres directement du général Numbi.
Dix jours après le meurtre, vous vous faites enlever.
Lorsqu’on m’a arrêté, on m’a cagoulé et on m’a amené vers une destination inconnue. Lorsque nous sommes arrivés à destination, on m’a fait ouvrir la cagoule. Et je me suis retrouvé dans la résidence privée d’un conseiller du général Numb : « Toi, tu voudrais trahir le général Numbi ». Ca c’est le 11 jusqu’au 13, un certain dimanche. Après quelques minutes, à 14h, on nous a amené à manger. Je surveillais les mouvements des policiers et je suis sorti, j’ai escaladé le mur. Je suis parti.
Vous restez neuf mois caché à Kinshasa, puis vous décidez de vous rendre à la justice. Mais là, vous êtes à nouveau arrêté et emmené à Lubumbashi. Vous parvenez encore à vous évader et cette fois à quitter le pays. Vous avez été condamné à mort par contumace pour assassinat, association de malfaiteurs. Pourquoi témoigner aujourd’hui ?
On m’a condamné illégalement. J’étais devant la justice. La justice devait me livrer. Mais la justice a préféré me faire disparaître parce que je suis un témoin gênant dans l’affaire Chebeya, c’est-à-dire que je suis un témoin gênant pour le pouvoir de Kinshasa et pour le président de la République, et même pour le général Numbi. A ce moment-là, il n’y a pas moyen de retourner au pays.
Réaction de Kinshasa
Après la diffusion du témoignage sur RFI, de Paul Mwilambwe, le porte-parole du gouvernement congolais et ministre de la Communication a aussitôt réagi. Lambert Mendé dénonce un témoignage qui ne tient pas la route. Il déclare :
« Nous voulons réagir à cet espèce de récit arrangé, qui ne nous paraît pas très éloigné d’un véritable lynchage médiatique. Parce que ce fameux témoin gênant qui ne se confie pas à la justice, qui fuit la justice de son pays, qui ne se confie qu’à des médias français, est assez suspect après ce qui s’est passé au Sommet de la Francophonie. Il n’a pas entendu le général donner des ordres. Il n’a pas vu le général Numbi. Il aurait vu quelqu’un qui aurait vu le général Numbi, qui aurait dit que le président Kabila aurait donné les ordres. Même devant un petit juge de quartier, cela ne tient pas la route. Et nous nous étonnons que l’on donne quelque consistance que ce soit à de tels témoignages qui ne sont pas du tout judiciaires. C’est des évènements médiatiques peut-être mais qui ne peuvent pas permettre d’aller jusqu’à attenter à l’honneur d’un pays, à l’honneur d’un chef d’Etat dont on ne voit pas ce qu’il vient faire dans cette affaire de l’assassinat de Floribert Chebeya. Sinon la volonté d’utiliser ce drame pour déstabiliser les institutions congolaises ».
Source : www.rfi.fr

CMlive/Papy tamba vs francophonie

KAMERHE,TO LINGI YO OZALA CLAIR,ENTRE LE RWANDA OU LE CONGO,OZALI NA POSITION NINI? OZALI DEFENSEUR YA RWANDA TO YA CONGO; AWA TO ZALI 2 PAYS,RWANDA NA CONGO, RWANDA AZALI KO BOMA BA CONGOLAIS,BA BOMI PLUS YA 12.000.000,BAZALI KO VIOLER,KO PILLER; BA CONGOLAIS BA BOMI ATA RWANDAIS MOKO TE; TOKO YOKANA NA BANGO NA NINI? EZALA BA HUTU,EZALA BA TUTSIS YA RWANDA BA ZALI KO BOMA BA CONGOLAIS,CONGOLAIS ABOMI ATA RWANDAIS TE,EBONGO TO YOKANA NA NINI? YANGO WANA ESENGELI KAMERHE, SOKI OZO SALA POLITIQUE PO NA BOLAMU YA CONGO,BISIKA NIOSO OZALI KO KENDE SENGAKA BA KANGA NKUNDA,TANGANA BOSCO NA BA NINGA NA BANGO NIOSO PE NA BA MAITRES NA BANGO,YO OYEBI MAKAMBU NIOSO EZO LEKA NA CONGO;TIKA KO PORTER ARM YA RWANDA NA CONGO BA YOKANA, AVANT MAKAMBU YA KO YOKANA ESENGELI KO KANGA TOUS LES GENOCIDAIRES RWANDAIS BA SAMBISAMA PO NA CRIME MONENE BAZALI KO COMMETRE NA CONGO,APRES OKOKI KOYA NA DISCOURT YA CONGO NA RWANDA BA YOKANA.

Intégralité :Eugène Diomi Ndongala raconte son enlèvement et la cruauté de Kabila Kanambe





C'est un Diomi Ndongala méconnaissable, avec un regard hagard, une barbe hursute en poivre et sel, amigri et fatigué. Notre Vuvuzélateur national Lambert Mende est devenu aphone, il a avalé sa langue, lui qui devant les caméras et micros avait clamé qu'Eugène Diomi Ndongala avait pris la poudre d'escampette et se serait exilé en Italie. L'opposant congolais, Eugène Diomi Ndongala, le président de la Démocratie Chrétienne (DC) et opposant frondeur contre le hold-up électoral de Joseph Kabila, porté disparu depuis quatre mois, a été retrouvé vivant dans la nuit de mercredi à jeudi sur la route de Matadi vers Mont-Ngafula dans la ville de Kinshasa.

Ce n'est sans doute pas une coïncidence. Deux jours après que le président Hollande a jugé « tout à fait inacceptable » la situation en République démocratique du Congo (RDC) sur le plan des droits de l'homme et de la démocratie, et à quelques heures de l'ouverture officielle du XIVe sommet de la francophonie à Kinshasa, un député de l'opposition, porté disparu depuis plus de trois mois, a été retrouvé, affaibli, jeudi 11 octobre, à 2 heures du matin, près d'un centre militaire de l'ouest de la capitale congolaise.
Eugène Diomi Ndongala, dirigeant de la Démocratie chrétienne (DC) avait quitté son domicile le 27 juin pour sceller une coalition avec d'autres partis politiques au centre-ville mais n'est jamais arrivé à destination.

Le lendemain, le parquet de Kinshasa avait indiqué que M. Diomi avait « pris la fuite » après qu'un mandat d'arrêt lui avait été signifié pour le viol de deux mineures. La même accusation a été formulée contre plusieurs opposants politiques.
Amnesty International, les proches et le parti de M. Diomi avaient, eux, obtenu des informations confirmant son enlèvement et sa détention par des agents des services de renseignement congolais.

LES DÉFENSEURS DES DROITS DE L'HOMME MALMENÉS
De nombreuses ONG ont dénoncé une recrudescence d'agressions et d'actes d'intimidations à l'endroit de défenseurs des doits de l'homme et de journalistes à l'approche du sommet de la francophonie, qui doit rassembler, du 12 au 14 octobre, une trentaine de chefs d'État et de gouvernement à Kinshasa.

C'est par exemple le cas de René Kahukula, défenseur des paysans déshérités. Enlevé le 1er juin, il a fait parvenir une lettre d'une prison secrète décrivant ses conditions de détention par ces mêmes services de renseignement mais n'est pas réapparu à ce jour. Il avait mené campagne pour que soient jugés les policiers inculpés dans l'assassinat en 2010 de Floribert Chebeya, un défenseur des droits de l'homme unanimement respecté. Leur procès en appel a été récemment reporté au 23 octobre. Le réalisateur belge Thierry Michel, auteur d'un documentaire sur l'affaire Chebeya, s'est vu refuser un visa à l'ambassade de RDC en Belgique pour se rendre au sommet de Kinshasa et y présenter son film, en dépit des assurances qu'avait données le premier ministre congolais sur sa venue.

Promises par le gouvernement du président Joseph Kabila, deux avancées vers l'état de droit -- la création d'une commission électorale indépendante et la mise sur pied d'une commission nationale des droits de l'homme -- en sont toujours au stade des débats devant le Parlement congolais. La cour constitutionnelle, créée en 2006, n'a, elle, jamais été mise en place.

Martine Jacot (Kinshasa, envoyée spéciale)
Le Monde.fr
Par Martine Jacot

http://www.apareco-rdc.com/

http://www.dailymail.co.uk/news/article-2218834/Presidential-Debate-2012-Obama-goes-Mitt-Romneys-jugular-Hempstead-New-York.html?ITO=socialnet-googleplus-dailymail#video
Desperate and dirty! Obama goes for jugular in ugly clashes with Romney during fiery debate - but will it turn round his ailing campaign?
Barack Obama comes out swinging in ugly debate clash with Mitt Romney
President hits challenger over Bain Capital career and personal wealth then ends by bringing up '47 per cent' video comments
Bitter fight over Benghazi as Obama describes GOP claims as 'offensive'
Defends his record but Romney says to audience, 'You know better'
Riled GOP candidate at one point ordered President to sit down
Obama painted Romney as 'extreme' on social issues such as abortion
Moderator Candy Crowley controversially intervenes in fiery exchanges
President given slim lead in first polls of debate-watchers
But will spirited performance be enough to turn around campaign?






A bristling Barack Obama went on a relentless attack in the second presidential debate, but his rival Mitt Romney gave no ground as the two men clashed repeatedly during angry and at times electric exchanges on Tuesday night.

Clearly arriving with a different game plan after his lacklustre performance in Denver two weeks ago, Obama assailed Romney on his tax rate, his tax plan, his stance on the auto bailout, women’s rights and his plans to stand up to China.

And this time he didn’t shy away from personal assaults on Romney’s wealth, his record at Bain Capital and those now infamous secretly recorded remarks on the ‘47 per cent’ – all of which he failed to mention the first time the pair clashed.

The pair bordered on being physically aggressive, coming toe-to-toe and looming over each other as they held their hands up at each other on the red-carpeted stage.

Scroll down to watch debate highlights

VOC- Francophonie: LAMBERT MENDE ATTAQUE FRANCOIS HOLLAND ET ETIENNE TSHISEKEDI

K PAR K REPONSE A Vital KAMERHE et Mama KONGO sORT DU SILENCE et Frappe MANDELENI-Trio

FRANCE 24 L'Entretien : 16/10/2012 L'ENTRETIEN

http://www.apareco-rdc.com/a-la-une/actualites/905-larroseur-arrose-le-gouvernement-kabila-au-sommet-de-sa-mediocrite.html

Le petit journal de canal +, Francophonie: Vérité sur le fara fara François Hollande et Kabila

RDC : regain de tension entre Paris et Kinshasa avant le sommet de la Francophonie

A quatre jours du sommet de la Francophonie qui se tiendra dans la capitale congolaise, les relations se sont encore tendues entre Paris et Kinshasa. Le président français, François Hollande a, une nouvelle fois, critiqué les autorités congolaises, ce mardi 9 octobre, en déclarant que la situation démocratique en République démocratique du Congo (RDC) est « tout à fait inacceptable ». Kinshasa n’a pas tardé à riposter en estimant que le président français était « mal informé ».

Alors qu’il tenait, à Paris, une conférence de presse avec le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, le président français n’a pas mâché ses mots pour décrire sa vision de la RDC et critiquer frontalement Joseph Kabila et son gouvernement. François Hollande – attendu samedi 13 octobre dans la capitale congolaise pour le sommet de la Francophonie - a notamment déclaré que la situation démocratique en RDC était « tout à fait inacceptable ». François Hollande

Président de la République française.

La situation dans ce pays est tout à fait inacceptable sur le plan des droits, de la démocratie et de la reconnaissance de l’opposition.          
                                                                               le 09/10/2012

        WE ALL TOGETHER GUYS

C'EST POUR SA QUE JE SUIS COMBATTANT ET NON PAS POUR LES POLITICIENS!!!

  C'EST POUR SA QUE JE SUIS  COMBATTANT ET NON PAS POUR LES  POLITICIENS!!!

gina watupa

http://nanaodile.skyrock.com/tags/

                                                         Flash ! 
Attentat manqué contre le président Etienne Tshisekedi à Limete. Trois militaires de la fameuse GSP de Kabila armés avec un fusil à lunettes et silencieux arrêtés par la garde de la résidence du président. Ils étaient postés sur un immeuble avoisinant...

En ce moment il ya la Monuc et des diplomates internationaux [de l’Union Européenne] à la résidence du président.
 Il y a du monde à Limete en ce moment dès que la nouvelle s'est répandue !

A suivre...

 FLASH FLASH FLASH FLASH

                             FLASH FLASH FLASH FLASH

Panique à bord ! vers 12h30 aujourd'hui à limete 3 militaires venus soi-disant prendre un enfant scolarisé juste à la parcelle qui suit celle de notre président les 3 bonhommes identifiés comme étant les bana moura étaient armés jusqu'au dent; drôle de façon de venir prendre un enfant à l'école grâce à la vigilance des gardes et des militaires affectés à la résidence de notre président Tshisekedi puisque c'est de lui qu'il s'agit ses individus ont été interpellés et remis entre les mains de leur responsable. Leur objectif n'était pas de venir prendre l'enfant mais bien de s'introduire dans l'école pour voir tous les mouvements qui se passeraient dans la parcelle de notre président et éventuellement attenter à sa vie mais le Dieu de notre président étant vivant a déjoué leur plan machiavélique. Si Dieu est pour nous qui sera contre nous bokolonga teeeeeeeeeeeeeeee; Ingetaaaaaaaaaaaaa

VOC- RCK NA POINTE, FRANCOPHONIE; CONFERENCE DE PRESSE DE LA MINISTRE BENGUINGUI

VOC- Vice Versa: RDC-Rwanda, Alliés ou Ennemis Grand débat (a

voila la raison pour la quelle notre frère résistant patriote gabriel mokia est en prison

The Truth About The Democratic Republic of Congo 9 of 9

Congolese Students say no to the silence on Congo War

GINO SCAR GOOD JOB BRO KEEP IT UP

Afro Youth and Revolution:

Afro Youth and Revolution:

GINA WATUPA

http://lingalafacicile.com

http://congonumber1.com